Tous les pensionnaires de l'asile, de dangereux criminels, avaient brusquement disparu sans laisser de trace. La police ne les avait jamais retrouvés. Comment aurait-on pu imaginer, ne serait-ce qu'une seconde, qu'ils s'étaient réfugiés à l'intérieur des murs de l'asile ? Il n'y a que les fous pour croire sérieusement à l'efficacité de la magie noire. Et les fous furieux pour s'en servir.
Encore du grand Masterton dans cet opus, qui m'a permis de passer d’agréables moments frissonnants. J'ai tout de même trouver que çà traînait un peu en longueur, ce qui, ma foi, est assez récurrent avec Masterton je trouve, mais la lecture est agréable et la tension ne cesse d'augmenter en cours de lecture.
Je n'ai qu'un regret, ne pas pouvoir visiter les Chênes, car la bâtisse à l'air tellement jolie que je sens que je m'y plairait bien.
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